Archive for the ‘Art à part’ Category
Art à part: Fumée Lourde
Assistez à l’oeuvre en direct sur Facebook le 25 juillet, 14h00
À propos du projet
Un laboratoire de recherche théâtral à Hearst au sujet des rapports de proximité émotionnels et de distance physique dans un contexte nord-ontarien. Cette pièce explore les notions de construction et de déconstruction de la parole dans un contexte de distance physique, en réécrivant des dialogues improvisés. Pour nourrir leurs réflexions, les artistes ont utilisé différents moyens de communication numérique comme les courriels, textos, Facetime et Skype lors de leurs explorations.
Ce projet a bénéficié du soutien financier de l’École nationale de théâtre du Canada via le programme Art à part, un soutien d’urgence aux artistes de la relève pendant la période d’isolement dû au coronavirus (COVID-19).
À propos de l’artiste
Artiste pluridisciplinaire qui œuvre dans le domaine théâtral professionnel franco-ontarien, Kariane Lachance est diplômée d’un baccalauréat en théâtre et en arts visuels à l’Université d’Ottawa. De plus, elle complète en 2019 une maîtrise en mise en scène au sein de même établissement. Depuis 2018, elle est directrice artistique de Théâtre Mauve Sapin, compagnie qu’elle a fondée à Hearst qui se spécialise dans la création de spectacles intimes conçus pour être joués dans des lieux théâtraux non conventionnels. Elle travaille présentement sur la création de Mamuche, un texte poétique de théâtre jeunesse. Ce spectacle de marionnette fera l’objet d’un laboratoire de création en juin 2020 au Théâtre du Nouvel Ontario et un second en août 2020 à la Place des Arts de Hearst. En juin 2020, elle sera en laboratoire d’écriture, à la Place des Arts de Hearst, avec l’autrice et comédienne Émilie Camiré-Pecek dans le cadre de la création de leur premier texte théâtral immersif, les illusion isolantes. En octobre 2019, elle signe la mise en scène et le texte du spectacle Pattes en aiguille, produit par la compagnie Théâtre Mauve Sapin et présenté au Théâtre du Nouvel Ontario de Sudbury ainsi qu’à la Place des Arts de Hearst. En mai 2019, elle participe à un laboratoire de recherche création, en tant que comédienne et auteure, au sujet des villes fantômes du Nord de l’Ontario. Ce projet est une collaboration entre la Place des Arts de Hearst et Théâtre Mauve Sapin avec l’appui financier du Conseil des Arts de l’Ontario.

Art à part: Le temps va plus lent, comme si on marchait sur la glace
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Assistez à la causerie du 29 juillet, 19h00 sur Zoom
Annoncez votre présence à la causerie du 29 juillet, 19h00 via la page Facebook
À propos du projet
Cette dramaturgie est une autobiographie fictive. C’est le portrait d’une rencontre interculturelle dans laquelle deux personnes apprennent à comprendre et à apprécier leurs différences culturelles, qui dépassent leurs appartenances ethniques, Québec-Mexique. Mais leurs différences, c’est aussi leurs enfances très marquantes et leurs perspectives de ce qu’est la vie pour chacun d’eux.
Synopsis
À la fin de l’hiver québécois, dans une pseudo-apocalypse qui les oblige à se confiner chez eux, deux garçons se trouvent dans l’impossibilité de continuer leur dating vis-à-vis. Impatients d’apprendre à se connaître dans un contexte où l’hyperconnectivité est devenue un mal nécessaire, ils décident de s’embarquer dans une relation avec la médiation de l’Internet. S’ils se sont déjà rencontrés dans une application de rencontre, qu’est-ce qui peut mal tourner?
Dans l’isolation de leurs foyers respectifs, tout peut arriver. La danse, les rires et les histoires de passés obscurs accompagnent les deux personnages dans leur quête pour rencontrer leur soul mate. Mais l’amour n’est pas toujours facile et l’amour au temps de l’apocalypse donne l’impression d’avoir tout le temps du monde et plus. « Le temps va plus lentement, comme si on marchait sur la glace », c’est le titre que porte cette dramaturgie, mais c’est aussi une métaphore qui évoque l’isolation interminable issue de la situation de crise sanitaire actuelle.
Ce projet a bénéficié du soutien financier de l’École nationale de théâtre du Canada via le programme Art à part, un soutien d’urgence aux artistes de la relève pendant la période d’isolement dû au coronavirus (COVID-19).
À propos des artistes
Eli Cortés Carreón est un artiste et chercheur diplômé en 2016 du Baccalauréat en Arts de l’École d’Art de Jalisco (Mexique), où il s’est spécialisé en art dramatique et en arts visuels. Actuellement, il poursuit ses études à la Maîtrise en communications à l’UQÀM, où il réalise sa recherche sur l’identité narrative des personnes sourdes dans les spectacles. Cette recherche vise à développer l’accessibilité et l’inclusion des personnes handicapées dans les enjeux artistiques et culturels. Dans le répertoire des créations de l’artiste, il y a Mentis (2013), une pièce de théâtre physique avec une exploration à quatre fronts ; Motel (2016), une pièce-parcours de théâtre immersif dans un motel au Mexique et Breathe amigo, breathe (2016), une dramaturgie illustrée.
Henri Kinkead est un musicien et auteur québécois. Il œuvre principalement au sein du duo pop Kinkead, à titre d’auteur-compositeur-interprète. À la fin 2018, le groupe a lancé un premier EP, « 1995 », qui a rejoint un large public. Leur premier album, « Migration », paraîtra à la fin 2020. Ce microsillon est une autofiction musicale moderne et diversifiée, qui accompagne la transition douce-amère de l’adolescence vers l’âge adulte. Diplômé du Campus Notre-Dame-de-Foy en techniques professionnelles de musique et chanson (2015), Henri Kinkead a aussi agi en tant que bassiste et contrebassiste accompagnateur pour d’autres auteurs-compositeurs, tels que Jérôme 50 et Simon Kearney. Il est également titulaire d’un baccalauréat en psychologie à l’Université Laval. »

Art à part: Il pleut des Iguanes
À propos du projet
Il pleut des Iguanes est le premier épisode du balado d’enquête fictive, Depuis que les poules ont des dents.
Montréal 2050. Le réchauffement climatique ayant causé la migration de plusieurs espèces exotiques vers le nord, les Iguanes sont désormais partie prenante de la faune urbaine. À la fin du mois de juillet, l’inimaginable se produit…
Écoutez le récit de vies complètement chamboulées par un évènement météorologique extraordinaire. Les blessures occasionnées par cette journée laisseront des marques invisibles qui, contrairement à une bosse sur le crâne, ne s’atténuent pas au contact d’un sac de glace.
Quatre personnages improbables, quatre parcs iconiques de Montréal et une journée qui passera certainement à l’histoire (ou au moins aux nouvelles).
Ce projet a bénéficié du soutien financier de l’École nationale de théâtre du Canada via le programme Art à part, un soutien d’urgence aux artistes de la relève pendant la période d’isolement dû au coronavirus (COVID-19).
À propos des artistes
LAURENCE LAPRISE
Laurence a d’abord complété la formation en journalisme du programme ATM au Cégep de Jonquière pour ensuite poursuivre son parcours scolaire en Études théâtrales à l’UQAM. Maintenant étudiante de troisième année en interprétation à l’École de théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, c’est en tant que comédienne qu’elle a choisi de terminer ses études. Longtemps impliquée dans le milieu culturel du Saguenay Lac-Saint-Jean, sa région natale, elle y a cofondé une compagnie de théâtre et un collectif d’improvisation. Arrivée à Montréal en 2016, elle travaille désormais à se tailler une place dans la communauté artistique de sa ville d’accueil et a déjà plusieurs projets à son actif.
CLARA CHAMPAGNE-LAFOREST
Après s’être égarée pendant trois ans de sa vie dans une formation en design d’intérieur – qui lui aura toutefois donné des compétences utiles à la conception de décors notamment – Clara touche pour la première fois au jeu caméra en 2014 avec l’interprétation d’Izzy dans le court métrage Izzy veut devenir une femme, de Rosalie Bordeleau, présenté à la 68e édition du Festival de Cannes. Deux ans plus tard, Gabrielle Vigneault-Gendron fait appel à elle pour incarner le rôle Chloé dans le court métrage Arc-en-ciel, sélectionné à la 36e édition du Atlantic film festival. Clara termine actuellement sa troisième année à l’école de théâtre professionnel du collège Lionel-Groulx.

Art à part: Exercice de style
L’artiste présente Exercice de style, une série de 21 photos à découvrir ci-dessous.
À propos du projet
À la suite de l’apparition de la COVID-19 et de l’annulation de ses contrats, l’artiste a repris des projets personnels laissés de côté depuis longtemps – une façon de tuer tout ce temps libre. Elle a décidé de confectionner quelques vêtements prêt-à-porter pour perfectionner ses aptitudes de coupe. La fermeture des commerces non essentiels a ajouté un défi d’approvisionnement de tissus au projet. L’artiste a donc déniché des tissus et retailles ramassés lors de processus de création de différentes productions théâtrales. Elle a décidé de mettre à profit ces retailles, et d’assembler sa première chemise avec un amalgame de deux types de tissus différents, soit un coton simple plus brut ainsi qu’une soie beaucoup plus riche. Cette juxtaposition a engendré une réflexion plus riche sur l’apport du monde théâtral dans une vie empreinte de routine et de quotidien. Tout comme cette soie qui a d’abord vécu sur la scène dans un tout autre contexte et qui sert maintenant de finition à une simple chemise. Cet apport que le théâtre et les arts de la scène peuvent avoir pour l’humain, c’est une façon de s’élever, peu importe que sa présence soit marquante ou partiellement visible. Le prêt-à-porter s’élève alors grâce à un nouvel équilibre bien dosé entre le commun et l’extraordinaire. L’artiste y retrouve sa raison de pratiquer un métier de la scène. Ce qui était d’abord un projet personnel est devenu quelque chose de plus profond – ce sentiment d’être encore capable de s’émerveiller, de se questionner devant l’art dans toute sa simplicité, sa subtilité, particulièrement à travers ces moments plus sombres pour plusieurs.
Ce projet a bénéficié du soutien financier de l’École nationale de théâtre du Canada via le programme Art à part, un soutien d’urgence aux artistes de la relève pendant la période d’isolement dû au coronavirus (COVID-19).
À propos de l’artiste
Depuis sa sortie de l’École de théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, Olivia a la chance d’enchaîner les créations. Si c’est d’abord le texte qui l’a mené vers le théâtre, c’est l’amour de la recherche pour la création de visuels forts qui a su alimenter l’épanouissement de sa pratique, grâce à la rencontre de plusieurs artistes: metteurs en scènes, acteurs, techniciens, circassiens et créateurs la font voyager du décor aux accessoires en passant par le costume. Olivia est toujours portée par sa curiosité d’en apprendre plus sur son métier et ce sont ses expériences d’artisanes et d’associations avec d’autres concepteurs qui la nourrissent pour ses propres créations. Dernièrement, on a pu voir son travail dans le spectacle Éden présenté au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui en décembre dernier puis prochainement dans Petits crimes contre l’Humanité en tournée à Montréal.
Site web: olivia-pia-audet.wixsite.com
Instagram: @oliviapaudet
Facebook: Olivia Pia A.
Courriel: olivia-pia-audet@hotmail.ca

Art à part: En formation
À propos du projet
Faye, une jeune diplômée de l’École de théâtre, se trouve une job comme ouvreuse dans un théâtre populaire. Dû aux événements actuels liés à la pandémie Covid-19, sa formation aura donc lieu sur ZOOM. Jen, sa formatrice, la guidera afin qu’elle devienne une employée modèle. Faye ne se s’attendait pas à autant d’investissement pour une job qu’elle n’exerce pas encore.
Elle aurait dû choisir le 2000$.
JEN
Fait que toi t’as gradué de l’École de théâtre, c’est ça ?
FAYE
C’est ça.
JEN
Fait que t’es actrice.
FAYE
Oui… Je suis actrice.
JEN
Je t’ai vu dans quoi à mettons ? T’es tu à télé ?
FAYE
Ouin… non… je pense pas.
(…)
Ce projet a bénéficié du soutien financier de l’École nationale de théâtre du Canada via le programme Art à part, un soutien d’urgence aux artistes de la relève pendant la période d’isolement dû au coronavirus (COVID-19).
À propos des artistes
Diplômée en interprétation de l’École de théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, Caroline Somers est une artiste vibrante qui possède plusieurs cordes à son arc. Elle se passionne entre autres par la voix, le corps, l’écriture et la traduction. Dévouée à la pédagogie, elle jumelle ses passions pour l’enseignement et la création en travaillant chez Nos Voix Nos Visages et pour les Ateliers Côte à Côte. C’est dans ces expériences qu’elle développe ses aptitudes d’écriture et de mise en scène en participant à une vingtaine de créations de théâtre musical pour des jeunes de 5 à 12 ans. Récemment, elle coécrit Péremption[s], une création théâtrale à saveur humoristico-absurde. Fascinée par la scénarisation, elle développe actuellement quelques projets de web-séries. Caroline est une créatrice dévouée qui s’intéresse particulièrement à l’absurde que son quotidien lui offre.
Camille Cloutier est diplômée de l’École de théâtre du Cégep de St-Hyacinthe en Interprétation. Codirectrice artistique de la compagnie : à [vi]f théâtre, elle est une véritable touche à tout. À la fois comédienne et enseignante auprès des enfants, elle s’intéresse également à la mise en scène et l’écriture. Vive d’esprit et talentueuse, Camille cumule plusieurs projets à son actif. D’ailleurs, elle travaille présentement sur un projet d’écriture en lien avec le mandat de la compagnie de théâtre, c’est-à-dire ; la santé mentale.

Art à part: Un jeu d’enfant
À propos du projet
Un jeu d’enfant est une première étape de laboratoire d’écriture d’une pièce de théâtre documentaire qui questionne la guérison, la punition et la réparation des violences sexuelles pédophiles. En se prenant elle-même comme terrain de recherche, Unetelle documente sa quête de souvenirs refoulés, de réconciliation avec son agresseur et de collaboration avec lui pour créer une oeuvre théâtrale. Le processus de création, à la fois performatif et documentaire, vise à creuser le fléau des agressions sexuelles sur les enfants et à y répondre autrement. L’aventure ne fait que commencer, mais l’artiste et ses fidèles peluches pressentent déjà que leurs péripéties les mèneront vers le milieu carcéral, là où on «dompe» le problème sans jamais le régler.
Découvrez, en quatre mini-épisodes de balado, la situation initiale et l’élément déclencheur du processus de création.
Ce projet a bénéficié du soutien financier de l’École nationale de théâtre du Canada via le programme Art à part, un soutien d’urgence aux artistes de la relève pendant la période d’isolement dû au coronavirus (COVID-19).
À propos de l’artiste
Fiers membres de la grande ‘Franco-Ontarie’, Unetelle et les nounours se passionnent de projets qui font dialoguer l’art avec des changements sociaux urgents.
