L’École nationale de théâtre du Canada recherche 5 à 6 leaders émergent·e·s qui se destinent, ou qui occupent déjà, des postes de direction (artistique, administrative et/ou générale) auprès d’organisations aux missions diverses (production, diffusion, regroupement, etc.) dans le milieu des arts vivants au Canada.
Cette résidence est rendue possible grâce au soutien financier de Power Corporation du Canada.
Le milieu des arts vit une crise importante. L’intérêt public fluctuant, la place dévolue aux arts dans la société, l’impact insuffisant des fonds alloués à la culture, la précarité des artistes de toutes les disciplines des arts vivants sont seulement quelques-uns des enjeux qui forcent les organismes artistiques à agir afin d’assurer la survie des arts. En plus d’avoir à défendre et à développer une vision artistique, les directions sont toutes appelées à jouer un rôle de premier plan dans la recherche de fonds, le développement de nouveaux publics, le déploiement de partenariats innovants et l’élaboration d’un conseil d’administration actif et efficient.
La Résidence en leadership artistique de l’ÉNT, qui en sera à sa quatrième année d’existence, a été créée afin de servir le milieu artistique durant cette période de transformation. Elle vise à préparer des leaders émergent.e.s aux défis auxquels iels font face et ceux qui les attendent en leur transmettant des savoirs sur différents enjeux actuels, en facilitant le réseautage et le partage de connaissances et en participant à cet esprit de collégialité qui favorise l’émulation.
La résidence s’étendra sur une période de cinq mois.
Les personnes retenues composeront la cohorte de leadership dont les activités auront lieu à Montréal, Québec et Ottawa.
Les candidat(e)s s’engagent à participer aux rencontres, selon le calendrier suivant:
Les rencontres, animées par Julie Marie Bourgeois (Théâtre PàP et Théâtre des Fonds de tiroir et Productions Auen) et Xavier Inchauspé (Théâtre de Quat’Sous et Orange Noyée), se feront sous forme de discussions avec un.e invité.e expert.e, séminaire, groupe de codéveloppement, exercice pratique, communauté de recherche, discussion animée, etc.
Une thématique différente sera abordée à chaque rencontre, allant du risque artistique à la notion de responsabilité versus liberté en passant par les politiques culturelles et les nouveaux modèles de gestion, par exemple.
Le programme de leadership artistique est gratuit et inclut les éléments suivants :
Les demandes doivent être envoyées à info@ent-nts.ca avant le 7 janvier 2025 avec Résidence en leadership artistique en sujet. Les entrevues auront lieu entre le 14 et le 21 janvier 2025.
Elles doivent inclure :
L’ÉNT est fermement engagée à agrandir le bassin de talents en leadership au Canada. La diversité sous toutes ses formes propulsera le milieu des arts et les candidat.es de tous les milieux, communautés, orientations et habiletés sont encouragé.e.s à poser leur candidature.
L’École nationale de théâtre du Canada est très heureuse de vous annoncer que Laurence Rajotte-Soucy de Rugicomm, Alexandre Piché du Théâtre de la LNI, Annie-Claude Geoffroy, La danse sur les routes du Québec, Émile B. Lafortune de Autres Formes et Rosie Belley du Théâtre de la Bordée sont les 5 artistes qui ont été retenus par le jury de sélection et qui composeront la cohorte francophone du programme Résidence en leadership artistique pour l’année 2024.
La Résidence, qui en est à sa quatrième année d’existence, a été créée afin de servir le milieu artistique durant ces périodes de transformation. Elle vise à préparer des leaders émergent·e·s aux défis auxquels ils et elles font face et ceux qui les attendent en leur transmettant des savoirs sur différents enjeux actuels, en facilitant le réseautage et le partage de connaissances et en participant à cet esprit de collégialité qui favorise l’émulation.
Les rencontres, animées par Julie Marie Bourgeois (Théâtre PàP et Théâtre des Fonds de tiroir et Productions Auen) et Xavier Inchauspé (Théâtre de Quat’Sous et Orange Noyée), se feront sous forme de discussions avec un·e invité·e expert.e, en groupe de codéveloppement, exercice pratique, séminaire, communauté de recherche, etc. La résidence s’étendra sur une période de cinq mois, soit du 22 février au 17 juin 2024 et ses activités auront lieu à Montréal, Québec et Ottawa.
L’École nationale de théâtre est fermement engagée à agrandir le bassin de talents en leadership au Canada. La diversité sous toutes ses formes propulsera le milieu des arts.
Bravo et bienvenue au sein de la communauté artistique de l’ENT.
Détentrice d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en gestion des organismes culturels à HEC Montréal, Laurence Rajotte-Soucy allie sa passion pour les arts et son désir de donner une voix aux artistes dans l’espace public.
Détentrice d’un diplôme d’études supérieures spécialisées en gestion des organismes culturels à HEC Montréal, Laurence Rajotte-Soucy allie sa passion pour les arts et son désir de donner une voix aux artistes dans l’espace public.
Engagée dans le milieu culturel depuis 10 ans, d’abord en médiation culturelle au Centre Phi et dans des festivals d’arts visuels, Laurence rejoint l’agence de relations publiques spécialisée en culture, Rugicomm, en 2018. En tant que directrice de comptes, elle accompagne des compagnies et organismes dans la promotion de leurs œuvres et leur positionnement stratégique dans les médias du pays. Elle collabore notamment depuis plusieurs années avec le Théâtre Denise-Pelletier, le Théâtre Espace Libre, le Théâtre PÀP, Orange Noyée, Sibyllines et le Festival TransAmériques.
Elle siège également sur le conseil d’administration du Regroupement du Conte au Québec à titre d’administratrice depuis 2020.
Détenteur d’un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal, Alexandre Piché a toujours été partagé entre son amour des chiffres et celui de la culture. Il est le directeur général du Théâtre de la LNI.
Détenteur d’un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal, Alexandre Piché a toujours été partagé entre son amour des chiffres et celui de la culture.
Il entreprend sa carrière dans le monde de la vente publicitaire où il développe son éthique de travail et se découvre une passion pour les tableurs Excel. Après une réflexion sur l’évolution de son parcours professionnel, il choisit de se consacrer au milieu culturel en occupant le poste de responsable des relations avec le milieu à la Vitrine culturelle où il a pu en apprendre beaucoup sur cet écosystème fascinant et complexe.
En 2017, il rejoint le Théâtre de la Ligue Nationale d’Improvisation (LNI) en tant que responsable marketing, ventes et commandites, démontrant ses compétences en gestion et en promotion. Depuis 2023, il est le directeur général du Théâtre de la LNI, où il orchestre la direction stratégique et opérationnelle de l’institution. Un rêve qu’il n’aurait jamais pu imaginer, lui qui s’investit activement dans le milieu de l’improvisation théâtrale amateur depuis près de 20 ans après avoir été initié à cette discipline lors d’une visite de la LNI à son école primaire. La jeune feuille de route d’Alexandre, allant de la vente à la direction d’un théâtre renommé, reflète sa polyvalence et son engagement soutenu dans le milieu culturel.
Annie-Claude est connue pour contribuer activement au développement de la danse et pour s’engager de façon singulière et complice auprès des diffuseurs, des agent.es, des artistes et des publics.
Annie-Claude est connue pour contribuer activement au développement de la danse et pour s’engager de façon singulière et complice auprès des diffuseurs, des agent.es, des artistes et des publics. Pendant 14 ans, Diffusion Hector-Charland lui offre la possibilité de travailler à l’essor du Pôle Territoire Danse. C’est ainsi qu’une structure unique voit le jour et favorise l’épanouissement de la danse dans la région de Lanaudière.
Diplômée de l’École Supérieure de Danse du Québec et de l’École Nationale de Ballet à Toronto, elle fait ses débuts professionnels avec Les Grands Ballets Canadiens et collabore par la suite à un certain nombre d’œuvres contemporaines au Québec et à l’étranger en tant qu’interprète, entre autres sur la prestigieuse scène du Bregenzer Festspiele en Autriche.
En 2007, Culture Lanaudière lui décerne le prix Ambassadeurs Télé-Québec, qui souligne le rayonnement d’un.e artiste à l’extérieur de sa région. En 2021, elle reçoit le Prix de la danse de Montréal – Catégorie Contribution exceptionnelle, qui souligne l’apport remarquable d’individu.es ou d’organismes qui œuvrent au développement et au rayonnement de l’art de la danse.
Au fil des années, elle prend part à plusieurs jurys (MCCQ, CALQ, CAM, CINARS, RIDEAU), à l’important Comité de réflexion sur la diffusion au Québec et siège sur divers conseils d’administration, dont celui du Regroupement québécois de la danse de 2017 à 2021.
Son mandat actuel à La DSR lui a permis de coordonner une équipe, de générer les revenus nécessaires à la réalisation de la biennale et de réunir à Montréal près de 400 professionnels du Québec, du Canada et de l’international pour l’édition 2023 de Parcours Danse.
Émile, diplômé du programme de Création et production de l’École en 2018, est un professionnel des arts vivants aux compétences diversifiées. Son parcours englobe des rôles de créateur, concepteur, directeur technique et technicien, tant au niveau local qu’international.
Émile, diplômé du programme de production de l’ENT en 2018, est un professionnel des arts vivants aux compétences diversifiées. Son parcours englobe des rôles de créateur, concepteur, directeur technique et technicien, tant au niveau local qu’international. Fort d’une expérience variée soit au théâtre, en danse, au cirque, en performance ou en musique, Émile développe une compréhension approfondie des enjeux du milieu. Ses récentes années ont été dédiées au projet Autres Formes, un organisme à but non lucratif visant à offrir des services de création et de production novateurs à la communauté artistique montréalaise.
Alexis Raynault codirige la compagnie Ballet Opéra Pantomime. Il a réalisé des arrangements musicaux pour de nombreux artistes québécois, dont Pierre Lapointe, Philippe B, Cœur de pirate, les Sœurs Boulay et Philémon Cimon.
Alexis Raynault codirige la compagnie Ballet Opéra Pantomime, qu’il a fondée en 2013. Intéressé par la musique populaire, il a réalisé des arrangements musicaux pour de nombreux artistes québécois, dont Pierre Lapointe, Philippe B, Cœur de pirate, les Sœurs Boulay et Philémon Cimon. Au cours des dernières années, il a travaillé pour l’Orchestre Métropolitain et la Société Pro Musica, en plus de faire partie des conseils d’administration des Jeunesses Musicales Canada et du Festival BleuBleu de Carleton-sur-Mer, entre autres. En dehors de ses fonctions chez Ballet Opéra Pantomime, Alexis Raynault collabore au journal Le Devoir à titre de critique musical et littéraire et fait partie d’un comité d’évaluation du Conseil des arts de Montréal.
Contorsionniste de formation (École nationale de cirque de Montréal, 2001), elle s’inspire aujourd’hui de ses 20 ans de pratique en cirque pour réfléchir la contorsion comme posture philosophique et développer son langage scénique.
Artiste conceptuelle et de la performance, Andréane Leclerc s’intéresse aux rencontres humaines qui la guident vers des processus interdisciplinaires et interartistiques. Contorsionniste de formation (École nationale de cirque de Montréal, 2001), elle s’inspire aujourd’hui de ses 20 ans de pratique en cirque pour réfléchir la contorsion comme posture philosophique et développer son langage scénique. Son approche centrée sur l’écoute, l’écologie relationnelle et l’attention perceptive, s’inscrit au sein des nouvelles pratiques corporelles issues du champ de la somatique et de la performance.
En 2013, elle complète une maîtrise portant sur la dramaturgie de la prouesse au département de théâtre de l’UQAM. Elle fonde la même année, avec son partenaire Geoffroy Faribault, la compagnie Nadère arts vivants afin de poursuivre sa recherche d’un corps-matière évoluant dans la sensation plutôt que dans le sensationnalisme. Elle crée les pièces conceptuelles Di(x)parue 2009; Bath House 2013; Mange-Moi 2013; Cherepaka 2014; The Whore of Babylon Featuring The Tiger Lillies 2015; Sang Bleu 2018; À l’Est de Nod 2022 et (X) en cours de création. Ses pièces ont été présentées à Tokyo, Florence, Le Caire, Tenerife, Sao Paolo, Guadalajara, Chicago, Rouyn-Noranda et Tio’tia:ke – Mooniyang / Montréal, autant sur les scènes contemporaines, qu’en musée et en galerie.
Parallèlement à son parcours artistique, Andréane Leclerc est pédagogue et offre des classes de contorsion aux artistes physiques depuis 2015. Elle développe aussi des ateliers de dramaturgies interdisciplinaires destinés aux artistes de cirque, de danse, de théâtre et de la performance (Studio 303, En Piste, Playwrights Workshop Montreal à Montréal, La Gata Cirko à Bogota, La Grainerie à Toulouse, Fabbrica Europa à Florence). Elle a participé en 2017 à la mise sur pied de Cirque OFF, un manifeste vivant pour la biodiversité des arts du cirque à Montréal (Studio 303). Elle agit aussi à l’occasion comme conseillère à la dramaturgie et au mouvement (Dialogue of Disobedience & Black light, white noise de et avec Dana Dugan, 2018 & 2022) en plus d’être interprète pour divers projets internationaux (Variations pour une déchéance annoncée de Angela Konrad, 2012 ; The Tiger Lillies Perform Hamlet de Martin Tulinius depuis 2016).
Caroline a oeuvré dans plusieurs sphères des arts de la scène : théâtre, danse et comédies musicales. Elle cumule plus de 20 ans d’expérience dans les postes de régie générale, de direction de production, de direction de tournée et de direction technique.
Diplômée du programme de Création et production de l’École nationale de théâtre du Canada en 2000, Caroline Ferland a oeuvré dans plusieurs sphères des arts de la scène : théâtre, danse, comédies musicales, autant en création, en diffusion qu’en tournée. Elle cumule plus de 20 ans d’expérience dans les postes de régie générale, de direction de production, de direction de tournée ainsi que de direction technique. Caroline a collaboré avec nombreux créateurs, compagnies et institutions tels que Ex Machina, le Centre national des arts du Canada, l’École nationale de théâtre du Canada, Le Théâtre Pap, le Théatre des Fonds de Tiroirs, Le Nouveau Théâtre Expérimental, le Théâtre d’Aujourd’hui et le FTA. En 2015, après un déménagement dans la campagne estrienne, elle bifurque vers la gestion après avoir obtenu le poste de directrice générale du Centre des arts de la scène Jean-Besré, centre de création et de production à Sherbrooke.
Titulaire d’une maîtrise en sciences politiques de l’UQAM, Gabriel Theriault (il/lui) s’intéresse depuis longtemps à la relation entre les arts et la politique. Ses intérêts artistiques reflètent notre contemporanéité : bigarrés et hors du commun.
Titulaire d’une maîtrise en sciences politiques de l’UQAM, Gabriel Theriault (il/lui) s’intéresse depuis longtemps à la relation entre les arts et la politique. Ses intérêts artistiques reflètent notre contemporanéité : bigarrés et hors du commun.
Engagé dans le milieu culturel montréalais entre autres à travers le FTA et CINARS, Gabriel s’intéresse particulièrement à la cause des artistes émergents et des travailleur.euse.s culturel.le.s. Depuis avril 2019, il est adjoint aux directions à La Chapelle Scènes Contemporaines (Montréal, Canada).
Nicolas Gendron a participé à une trentaine de productions théâtrales, occupant tour à tour les rôles de comédien, de metteur en scène, d’auteur, d’adaptateur ou de conseiller dramaturgique. Il est le directeur artistique de la compagnie ExLibris.
Depuis sa formation en interprétation à l’École de théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, Nicolas Gendron a participé à une trentaine de productions théâtrales, occupant tour à tour les rôles de comédien, de metteur en scène, d’auteur, d’adaptateur ou de conseiller dramaturgique. Son travail de mise en scène s’est entre autres révélé au Théâtre Prospero, à la Salle Fred-Barry, à La Chapelle | Scènes contemporaines, au Théâtre des Grands Chênes, à Premier Acte et au Théâtre La Bordée. Nicolas est aussi un fidèle complice du Théâtre Parminou, avec lequel il tourne et crée dès sa sortie de l’école.
Il est le directeur artistique de la compagnie ExLibris (Et au pire, on se mariera; L’Enfance de l’art – Doigts d’auteur de Marc Favreau), dont la démarche s’articule autour de la parole des auteur·rice·s. En plus d’être très engagé dans son milieu, par exemple au sein des conseils d’administration de la Machinerie et du Conseil québécois du théâtre, il a été nommé conseiller artistique au Théâtre Denise-Pelletier en 2017. Depuis plus d’une quinzaine d’années, il chérit également le septième art et collabore à la revue spécialisée Ciné-Bulles à titre de journaliste et de critique.
Tatiana est une actrice, autrice et réalisatrice diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Montréal. Sa démarche artistique consiste à décoloniser les arts: redéfinir les conventions, déplacer les barrières, et introduire des nouvelles esthétiques.
Tatiana est une actrice, autrice et réalisatrice diplômée du Conservatoire d’art dramatique de Montréal. Au cinéma, elle tient la vedette dans Cherche femme forte de Marilyn Cooke et joue aux côtés de Robin Aubert dans Jeune Juliette, le plus récent long-métrage d’Anne Émond. Au théâtre, elle foule les planches du TNM, du Quat’Sous et du CDTD’A. À la télévision, elle se démarque dans Nouvelle Adresse, District 31, Les Jeunes Loups, Bluemoon et À la Valdrague. En 2020, en pleine pandémie, elle réalise son premier court-métrage expérimental avec l’ONF. Elle est la première co-récipiendaire de la bourse La Forge/Netflix/Quebec Cinema 2020 en développement d’un long métrage de fiction.
Elle est actuellement artiste associée au théâtre du Quat’sous.
Sa démarche artistique consiste à décoloniser les arts, c’est-à-dire redéfinir les conventions, déplacer les barrières, et introduire des nouvelles esthétiques.
Écrivaine, dramaturge et traductrice avec plus de dix ans d’expérience dans le domaine culturel, Letícia Tórgo est fondatrice de la boîte de production Da Gaveta (au Brésil) et Dans le Tiroir (au Québec). Au cours des dernières années, elle a eu l’occasion de travailler auprès de différents organismes.
Écrivaine, dramaturge et traductrice avec plus de dix ans d’expérience dans le domaine culturel, Letícia Tórgo est fondatrice de la boîte de production Da Gaveta (au Brésil) et Dans le Tiroir (au Québec). Au cours des cinq dernières années, Letícia a eu l’occasion de travailler auprès de différents organismes à Montréal, tels que la compagnie de théâtre Hôtel-Motel, la compagnie de danse Je suis Julio et les festivals TransAmériques, Metropolis Bleu et Les Coups de Théâtre. En tant qu’écrivaine, elle signe le texte des spectacles Somos ici, avec Florence Bobier, présenté au MAI, Disquiet, crée à partir du Artist’s Mentorship Program du Black Theater Workshop, et plusieurs autres. Comme traductrice, Leticia signe la version portugaise du spectacle Siri, de Laurence Dauphinais et Maxime Carbonneau, et celle de Petite Sorcière, de Pascal Brullemans. Elle a aussi fait la direction de production de SIRI au Brésil et d’Aalaapi au Centre du Théâtre d’aujourd’hui, à Montréal. Letícia fait un certificat en création littéraire à l’UQAM et elle travaille en tant qu’interprète d’artistes au Cirque du Soleil.
Letícia Tórgo (Résidence en Leadership Artistique, 2019-2021), BMO et Power Corporation of Canada
Diplômée de l’École supérieure de théâtre de l’UQAM en jeu et du HEC à Montréal en gestion d’organismes culturels, Pascale possède une connaissance approfondie du milieu des arts de la scène et de ses réseaux internationaux grâce à sa solide expérience professionnelle au Québec, au Canada et à l’international.
Diplômée de l’École supérieure de théâtre de l’UQAM en jeu et du HEC à Montréal en gestion d’organismes culturels, Pascale Joubert possède une connaissance approfondie du milieu des arts de la scène et de ses réseaux internationaux grâce à sa solide expérience professionnelle au Québec, au Canada et à l’international. Elle se passionne à promouvoir les arts de la scène et a comme objectif de créer des liens et des échanges inspirants entre artistes, programmateurs et organisations. Elle est boursière canadienne à ISPA (International Society for the Performing Arts) pour une période de trois ans et siège à des conseils d’administration et des comités d’évaluation divers.
Son expertise réside notamment en développement national et international pour des artistes et leurs compagnies, mais elle a occupé divers postes à responsabilités au fil des ans. Elle collabore avec Sylvain Émard et Olivier Choinière et agit comme consultante auprès d’autres organismes. Elle a travaillé étroitement avec le Théâtre de la Pire Espèce et le Théâtre PAP et a été conseillère aux projets internationaux au Centre des auteurs dramatiques (CEAD). Ayant agi en tant que codirectrice générale du festival OFFTA, elle a aussi travaillé en coordination et production au sein du Festival TransAmériques et de la compagnie de danse allemande Sasha Waltz & Guests, basée à Berlin.
Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada en 2011, Émilie Martel compte à son actif plus de 40 créations de danse, de théâtre et d’opéra. Elle collabore avec le metteur en scène d’opéra Oriol Tomas depuis près de 10 ans comme assistante à la mise en scène et a participé à plusieurs créations à l’international.
Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre du Canada en 2011, Émilie Martel compte à son actif plus de 40 créations de danse, de théâtre et d’opéra. Elle collabore avec le metteur en scène d’opéra Oriol Tomas depuis près de 10 ans comme assistante à la mise en scène. Elle a participé à plusieurs créations à l’international, dont La Traviata, présentée en Islande (2019) et Les caprices de Marianne, en France (2014-2016). En 2017, elle est également sélectionnée pour prendre part au programme Open Space : Opera in the 21st century au Banff Centre for Arts and Creativity.
Dans le milieu de la danse, Émilie a agi à titre de directrice de production avec plusieurs chorégraphes, notamment Louise Lecavalier, Louise Bédard, Sylvain Émard, Virginie Brunelle, Caroline Laurin-Beaucage, Martin Messier et Priscilla Guy.
En théâtre, elle a côtoyé les metteurs en scène Philippe Ducros, Olivier Kemeid, Jérémie Niel, Daniel Brière, Geoffrey Gaquère et elle suit la compagnie Création dans la chambre depuis ses débuts comme directrice de production. Elle poursuivra dans la prochaine année le dialogue avec les co-directeurs artistiques, Félix-Antoine Boutin et Gabriel Plante, à titre de directrice générale.
Forte de ses expériences de production en danse et en théâtre, Émilie Martel s’allie avec La danse sur les routes du Québec en 2017 en tant que directrice de production pour Parcours Danse. Elle s’implique dès l’année suivante comme co-directrice Parcours Danse, afin de mettre à profit ses connaissances du milieu de la danse et de contribuer au rayonnement des chorégraphes et artistes du Québec.
Andrée-Anne Pellerin a évolué dans le domaine de la musique classique. Flûtiste de formation, elle a interrompu un D.E.S.S à la suite de son acceptation à l’École nationale de théâtre dans le programme Production. Andrée-Anne se spécialise dans la direction de production et la coordination en musique classique.
Originaire des Bois-Francs, Andrée-Anne Pellerin a évolué dans le domaine de la musique classique. Flûtiste de formation, elle a interrompu un D.E.S.S à la suite de son acceptation à l’École nationale de théâtre dans le programme Production. Cette passion pour le théâtre est née après avoir eu la chance de toucher à ce métier en étant l’assistante à la mise en scène et l’assistante à la direction de production pour trois opéras mis en scène par Normand Chouinard au département de musique de l’Université de Sherbrooke. Elle a aussi été coordonnatrice pour divers spectacles et concours de musique. Depuis sa sortie de l’École nationale de théâtre, Andrée-Anne se spécialise dans la direction de production et la coordination en musique classique.
Éric détient une maîtrise en pratique de la mise en scène de l’Université d’Ottawa et œuvre dans le milieu théâtral franco-canadien depuis 2013. Depuis l’été 2019, il est directeur général et artistique des Créations In Vivo, une compagnie fortement implantée dans le milieu artistique d’Ottawa et de l’Ontario français.
Éric détient une maîtrise en pratique de la mise en scène de l’Université d’Ottawa et œuvre dans le milieu théâtral franco-canadien depuis 2013. Depuis l’été 2019, il est directeur général et artistique des Créations In Vivo, une compagnie fortement implantée dans le milieu artistique d’Ottawa et de l’Ontario français. Sa récente mise en scène, Cendres de cailloux de Daniel Danis, vient de jouer dans plusieurs bibliothèques en Outaouais. Sa mise en scène d’On verra (2016) au Théâtre du Trillium s’est méritée le prix «Production de l’année» aux Prix Rideau Awards. Il est aussi lauréat du «Prix d’excellence» de la Fondation pour l’avancement du théâtre francophone au Canada avec l’auteure Mishka Lavigne (2015) pour leur projet Copeaux, qui a fait l’objet d’un laboratoire de développement au Centre artistique Daïmon grâce à un partenariat avec le Théâtre du Trillium (2018) en plus d’avoir fait partie des chantiers de création du Carrefour international de théâtre de Québec (2016). Copeaux sera créé en hiver 2020 à La Nouvelle Scène Gilles Desjardins dans une production du Théâtre de Dehors en partenariat avec le Théâtre la Catapulte. Son premier texte de théâtre, Jean-Pierre va à la lune, a été joué à La Nouvelle Scène Gilles Desjardins en 2017 en coproduction avec Vox Théâtre et le Théâtre de Dehors. Il travaille présentement sur un nouveau projet d’écriture et de mise en scène intitulé Sur les rives du monde. En 2009, il fonde le Théâtre de Dehors à Ottawa avec Sariana Monette-Saillant, qu’il codirige avec cette dernière jusqu’à l’été 2019, date de son entrée en poste aux Créations In Vivo.
Mikaël Vitali œuvre depuis près de 10 ans pour le milieu culturel dans des fonctions de direction, de coordination et d’administration pour plusieurs organismes en théâtre et danse. Grand passionné de théâtre de par son expérience parallèle de comédien, il a à cœur de mettre ses compétences de gestion au profit des arts.
Mikaël Vitali est un gestionnaire d’expérience qui œuvre depuis près de 10 ans pour le milieu culturel dans des fonctions de direction, de coordination et d’administration, et ce, pour plusieurs organismes en théâtre et danse. Après avoir exercé préalablement 15 premières années professionnelles comme contrôleur financier dans le privé et le public, il a choisi de se réorienter pour rejoindre son environnement de cœur, celui des arts vivants. Grand passionné de théâtre de par son expérience parallèle de comédien, il a à cœur de mettre ses compétences de gestion administratives et organisationnelles au profit des arts, comme il le fait actuellement avec le Jamais Lu et le théâtre Aux Écuries à Montréal. En rejoignant la nouvelle cohorte en leadership de l’ÉNT, Mikaël cherche à poursuivre ses échanges et ses réflexions sur les nouveaux modèles artistiques, un travail de développement de compétences personnelles au service des artistes et des compagnies du milieu théâtral.
Détenteur d’un baccalauréat en théâtre obtenu à l’Université Laval, Emile Beauchemin rassemble les artistes émergents en assurant la coordination de plusieurs événements comme le Festival de théâtre de l’Université Laval et le Bouillon d’art multi. Il a participé à l’organisation d’événements culturels comme Les chantiers / Constructions artistiques.
Détenteur d’un baccalauréat en théâtre – profil mise en scène – obtenu à l’Université Laval en 2015, Emile Beauchemin rassemble les artistes émergents en assurant la coordination de plusieurs événements comme le Festival de théâtre de l’Université Laval (FTUL) et le BAM (Bouillon d’art multi). Il a en outre participé à l’organisation d’événements culturels d’envergure comme Les chantiers / Constructions artistiques, LAB QUÉBEC et Le Jamais Lu Québec. Plus récemment, il a été nommé commissaire, spectacles et performances pour Mois Multi. Emile est par ailleurs très actif au sein d’Ex Machina et du Théâtre du Trident. Parallèlement à ces activités, le jeune directeur artistique se concentre sur ses deux compagnies : le Théâtre Astronaute qui crée des œuvres bilingues et multidisciplinaires et Joker Joker, diffuseur nomade de spectacles multidisciplinaires.
Emile Beauchemin (Résidence en Leadership Artistique, 2018-2020), BMO et Power Corporation of Canada
Rachel Billet détient une maîtrise en Métiers des arts et de la culture (Université Lyon 2). Sa recherche porte sur la co-construction des espaces de diffusion à Montréal. Dès 2016, Rachel s’est dévouée à la création et au démarrage de la Machinerie des arts, un organisme de service qui mutualise des ressources pour soutenir les créateurs dans le développement de leurs projets.
Rachel Billet s’intéresse aux modèles innovants d’organisation dans le secteur des arts vivants depuis sa maîtrise Métiers des arts et de la culture (Université Lyon 2) en 2007. Sa recherche de fin d’études sur la co-construction des espaces de diffusion à Montréal l’amène à rejoindre en 2010 les membres de La 2e Porte à Gauche, une plateforme chorégraphique atypique dont elle assurera la direction générale de 2013 à 2016. En parallèle, Rachel a exercé durant 8 ans au sein de cellules administratives de plusieurs organismes (à tour de rôle : Les éditions esse, les Sœurs Schmutt, le festival OFFTA, l’Agora de la danse) et a assuré des mandats ponctuels auprès de nombreux artistes (production, diffusion, gouvernance, etc.).
Dès 2016, Rachel s’est dévouée à la création et au démarrage de la Machinerie des arts, un organisme de service qui mutualise des ressources pour soutenir les créateurs dans le développement de leurs projets. À la direction générale depuis 2017, elle fédère cette communauté de pratique et développe des projets innovants. Rachel connait bien les défis organisationnels des créateurs et des organismes culturels, la gestion de projets artistiques et s’inspire sur le terrain de la théorie de l’Acteur-réseau.
Diplômé du programme de Production de l’École nationale de théâtre du Canada, Vincent de Repentigny a été codirecteur du OFFTA, festival d’arts vivants montréalais. En 2015, il copilote la refonte de l’organisme qui devient alors LA SERRE – arts vivants en élargissant ses activités. En 2019, il est nommé Directeur artistique et général et poursuit la mission de l’organisme.
Diplômé du programme de production de l’École nationale de théâtre du Canada, Vincent de Repentigny devient, en décembre 2013, codirecteur du OFFTA, festival d’arts vivants montréalais. En 2015, il copilote la refonte de l’organisme qui devient alors LA SERRE – arts vivants en élargissant ses activités. LA SERRE a comme mission de soutenir des artistes émergents dans la création, la production et le rayonnement d’œuvres signifiantes et évocatrices. En 2019, suite au départ de Jasmine Catudal, il est nommé Directeur artistique et général et poursuit la mission de l’organisme en consolidant son fonctionnement et en renforçant son modèle d’accompagnement artistique. Vincent est également un des récipiendaires du Fellowship Quebec 2019-2021 de l’International Society for Performing Arts (ISPA).
Auparavant, il a codirigé avec Julien Brun, entre 2011 et 2013, la compagnie suisso-québécoise insanë. Ils créent ensemble plusieurs projets dont Dieu est un DJ de l’auteur Falk Richter en téléprésence entre Genève (Mapping festival) et Montréal (Société des arts technologiques). Il a également cofondé l’espace de résidence pour artistes émergents Van Horne Station (VHS) en 2013 et assuré en 2015 la direction de production de l’événement Ailleurs en Folie – Montréal/Québec présenté dans le cadre de Mons, Capitale européenne de la culture (Belgique). Parallèlement, Vincent a collaboré avec de nombreux artistes à titre de metteur en scène, d’assistant à la mise en scène, de concepteur lumière et de concepteur vidéo.
Après un BAC en théâtre, Stéphanie Laurin cofonde un OBNL de productions artistiques et produit du théâtre, une plateforme de diffusion de courts métrages et des expositions d’art visuel. Elle détient une maîtrise en gestion des arts aux HEC. Depuis juin 2019, Stéphanie assure la codirection générale et la direction administrative pour la compagnie Empire Panique.
Après un BAC en théâtre, Stéphanie Laurin cofonde un OBNL de productions artistiques (les Productions Aequo) pour y faire ses premières armes en produisant du théâtre, une plateforme de diffusion de courts métrages et des expositions d’art visuel.
Elle fait un saut dans l’univers du web avant de travailler en publicité en tant que coordonnatrice de production.
Depuis 2016, elle a retrouvé son champ de prédilection en joignant l’équipe du Théâtre PÀP à titre d’adjointe à la direction et responsable du développement. Elle assure quelques mandats de charge de projets auprès des compagnies de créations théâtrales Sibyllines et Orange Noyée.
Elle obtient en 2018 une maîtrise en gestion des arts aux HEC dont la thèse portait sur l’épuisement professionnel chez les travailleurs culturels. Elle siège également sur le conseil d’administration du Regroupement du Conte au Québec (RCQ) à titre d’administratrice.
Depuis juin 2019, Stéphanie assure la codirection générale et la direction administrative pour la compagnie de Philippe Boutin, Empire Panique.
